Mais l'air ne veut pas de moi. Envie de voyager, de voir de nouvelles contrées, de nouvelles personnes, apprendre à en connaître. Bien, si cela se passe bien. Mais non pourtant. Une lassitude qui me tue. Un dédouanement qui n'attend rien en retour. Une spéculation inique et une envie de tout foutre en l'air. Mais une flemme aigüe qui s'accroche à mes pas, se colle à mes baskets. Je voudrais décoller mais je reste cloué au sol comme un ver de terre.
Une boule qui rêve qu'elle roule mais qui est depuis longtemps cassée en deux. Une coquille de noix échouée qui croit encore en la mer. Un paquebot qui passe dans le ciel avce son cortège de mariées en robe noire. Prince des nuées qui ne m'attire nullement. La faux tranche mais les fils sont inombrables. Le faux ne tranche pas le vrai.
Mais le vrai est dur. Le vrai blesse les yeux et détruit le coeur. Mais seul le vrai peut rendre pleinement heureux, seul le vrai permet le bonheur durable. Paradoxe ? Un de plus, je ne suis plus à ça près. Mes vagabondages dépités n'apportent jamais de réponse nette, seulement des directions qui se recoupent ou s'écartent, et qui transforment petit à petit cette grande toile dans ma tête.
Une fresque mouvante qui n'en finit jamais de recevoir des boulets de canon, et qu'il faut reconstruire. Morceau par morceau. Pièce par pièce. Comme un puzzle. Sauf que l'image que le puzzle construit existe. Ce qui n'est peut-être pas le cas de la mouvance constante qui n'est peut-être que le reflet d'individus dans un miroir abscons.
Ne cherchez plus l'ultime lieu pour se perdre. Il est bien plus proche que vous ne le croyez. Et pourtant vous ne le contemplerez jamais.
Une boule qui rêve qu'elle roule mais qui est depuis longtemps cassée en deux. Une coquille de noix échouée qui croit encore en la mer. Un paquebot qui passe dans le ciel avce son cortège de mariées en robe noire. Prince des nuées qui ne m'attire nullement. La faux tranche mais les fils sont inombrables. Le faux ne tranche pas le vrai.
Mais le vrai est dur. Le vrai blesse les yeux et détruit le coeur. Mais seul le vrai peut rendre pleinement heureux, seul le vrai permet le bonheur durable. Paradoxe ? Un de plus, je ne suis plus à ça près. Mes vagabondages dépités n'apportent jamais de réponse nette, seulement des directions qui se recoupent ou s'écartent, et qui transforment petit à petit cette grande toile dans ma tête.
Une fresque mouvante qui n'en finit jamais de recevoir des boulets de canon, et qu'il faut reconstruire. Morceau par morceau. Pièce par pièce. Comme un puzzle. Sauf que l'image que le puzzle construit existe. Ce qui n'est peut-être pas le cas de la mouvance constante qui n'est peut-être que le reflet d'individus dans un miroir abscons.
Ne cherchez plus l'ultime lieu pour se perdre. Il est bien plus proche que vous ne le croyez. Et pourtant vous ne le contemplerez jamais.
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