Parfois il y a le soleil, on chausse ses godasses et on court dans la rue à la recherche du souffle qui s'évanouit au loin.
Et puis parfois les gouttes crépitent sur le pavé, et cet air de nostalgie, d'oubli retrouvé, s'invite par la fenêtre semi-ouverte. Il y a ces après-midis entre l'ombre et la lumière, entre la joie et la noirceur, entre le blues et l'irisé des vagues. Un sentiment doux-amer indéfinissable par des mots désormais désuets.
Et comme le moustique qui tourne et s'échappe, le sentiment volette à travers cette journée, apportant son lot d'émotions.
Il y a des jours où Anna Ternheim est celle à écouter.
mercredi 10 octobre 2018
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire