Une lueur craintive, timide, pâlote
S'immisce dans la froide incertitude
Un nouveau jour se fait, moins rude
Laissant le passé comme une pelote
Le chemin glisse entre les pierres
Laissant à d'autres les écueils
Plutôt que stocker comme l'écureuil
Je m'en vais flâner le nez en l'air
Saisir l'incertain et vivre le rêve
Tendre la main vers l'impossible
Perdre l'immobilité paisible
Prendre une merveille, même brève
Un jour se lève et ce matin
Il n'y a plus deux, mais un chemin
Sans hésiter, saisir la chance
Et c'est à deux que l'on avance
vendredi 6 novembre 2009
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